3 romans à ne pas rater

17:08

Voici trois livres parmi mes préférés :























- Le coeur cousu - Carole Martinez

"Dans un village du sud de l'Espagne, une lignée de femmes se transmet depuis la nuit des temps une boîte mystérieuse... Frasquita y découvre des fils et des aiguilles et s'initie à la couture. Elle sublime les chiffons, coud les êtres ensemble, reprise les hommes effilochés. Mais ce talent lui donne vite une réputation de magicienne, ou de sorcière. Jouée et perdue par son mari lors d'un combat de coqs, elle est condamnée à l'errance à travers une Andalousie que les révoltes paysannes mettent à feu et à sang. Elle traîne avec elle sa caravane d'enfants, eux aussi pourvus - ou accablés - de dons surnaturels." (Quatrième de couverture)


- 100 ans de solitude - Gabriel Garcia Marquez

"Si vous n'avez pas lu ce livre, cela signifie que vous n'avez pas lu un des meilleurs livres parus ces vingt dernières années.
L'histoire est simple: la vie d'un village perdu d'Amérique du Sud pendant un siècle.
Sur cette trame simple, Marquez a écrit un livre fabuleux, magique, envoûtant....
GGM décrit la naissance de ce village, la vie des différentes génération avec une grâce et un pouvoir romanesque hors du commun.
Dans ce roman réaliste, l'auteur insuffle par petites touches du fantastique, de l'onirisme et par la même une grande poésie.
Un des livres qu'il faut avoir lus et relus et relus.. dans sa vie. Pour moi l'un des plus beaux romans jamais écrits." (source : http://www.critiqueslibres.com/)


- Les Cavaliers - Kessel


"Kessel a situé en Afghanistan une des aventures les plus belles et les plus féroces qu'il nous ait contées.
Les personnages atteignent une dimension épique : Ouroz et sa longue marche au bout de l'enfer... Le grand Toursène fidèle à sa légende de tchopendoz toujours victorieux...Mokkhi, le bon sais, au destin inversé par la haine et la découverte de la femme...Zéré qui dans l'humiliation efface les souillures d'une misère qui date de l'origine des temps... Et puis l'inoubliable Guardi Guedj, le conteur centenaire à qui son peuple a donné le plus beau des noms : " Aïeul de tout le monde "...

Enfin, Jehol " le Cheval Fou ", dont la présence tutélaire et " humaine " plane sur cette chanson de geste... Ils sont de chair les héros des Cavaliers, avec leurs sentiments abrupts et primitifs. Et pourtant le souffle de la fable et du mythe les anime et nourrit le roman." (source : http://kalistina.over-blog.com/)

*byMag

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